300 : La Naissance d'un Empire

Alors que Leonidas et ses 300 spartiates combattent les hordes commandées par le Roi perse Xerxès aux Thermopyles, le Général et stratège grec Thémistocle tente d’unifier la gréce face au puissances perse. Ayant du mal à unifier le peuples grecque, Thémistocle se lance néanmoins dans la bataille avec ses hommes. Commence alors une lutte sur les eaux entre les petits bateaux grecs et les puissants grands navires perses menés par la redoutable Artémise, la principale conseillère de Xerxès et dirigeante de toute sa flotte…

Pour commencer, 300 : La naissance d’un Empire se passe déroule avant, pendant et après le film 300. Les premières impressions sont le bonheur de retrouver sur grand écran les séquences de massacres, cette violence exacerbée, ces champs de bataillon. Malgré toutes ces belles trouvailles et des scènes à couper le souffle, un peu plus de place à Thémistocle et sa vision de la démocratie aurait été plus prolifique car les discussions politique de l’union de la Grèce est totalement absent excepté quelques discours. Le style du film ne change pas de 300, on retrouve tout ce qui a fait le succès du premier opus : ralentis, beaucoup d'effets de sang, décapitations et autres scènes érotiques.

En ce qui concerne les acteurs, on retrouve un certain plaisir à revoir Rodrigo Santoro en Xerxès, Lena Headey en Reine Gorgo et David Wenham en Dilios. Pour les nouveaux, Thémistocle, stratège militaire et politique, l’acteur s'en sort bien autant dans les batailles que les discours. Enfin Eva Green s’en tire encore mieux dans le rôle d’Artémise.

En un mot, 300 : La Naissance d’un Empire ne déçoit pas. Le film n’atteint pas le niveau de 300, mais ce n’est pas un problème. Le show est assuré avec des scènes plutôt drôles, les batailles navales vont parfois vous semblez incompréhensibles mais bon, dans une guerre c'est le désordre total sauf quand les guerriers spartiates se rejoignent : Ahou ! Ahou ! Ahou !