Quatre, Tris, Caleb et Peter sont maintenant considérés comme des fugitifs et doivent se cacher en attendant de retrouver le reste des Audacieux pour s'en prendre à Jeanine, qui les fait passer pour les coupables de l'histoire.
Et c'est déjà une bonne nouvelle, on sent moins (même si elle n'est pas absente) cette ambiance cucu qui règne avec Tris la jeune fille timide qui craque et fait craquer le "mec ténébreux".
Les échappés qui tentent de vivre une vie normale en attendant de retrouver leurs alliés.
Que ce soit des flashbacks les 5 premières minutes du film, des explications en plein milieu du film, vous n'aurez pas forcément besoin de (re)voir le premier film pour tout comprendre. Au pire, demandez à votre voisin !
Après avoir vu les leaders des Érudits (Jeanine), des Fraternels, des Audacieux et des Altruistes, il ne manquait que celui des Sincères, incarné par un certain acteur de Hawai 5.0 : Daniel Dae Kim
S'il y a bien une chose que l'on ne peut pas reprocher au film, c'est le choix des acteurs. Même si je n'aime pas spécialement Zöe Kravitz, ils jouent bien leur rôle.
Theo James incarne toujours un Tobias fort et leader, en y ajoutant cette image protectrice et sage par rapport à Tris.
Shailene Woodley met l'accent sur l'émotion avec le regret et la haine que Beatris traîne durant tout le film.
Miles Teller est le vrai petit garnement, la tête que je rêverai de claquer mais très drôle.
Ansel Elgort, que nous avons adoré dans Nos Étoiles Contraires, n'est plus le personnage sur de lui mais vraiment le stéréotype d'un Érudit : parler beaucoup et avoir l'air faible.
Octavia Spencer n'a pas spécialement retenu mon attention, mais Kate Winslet rentre bien dans la peau de son personnage.
[SPOILERS ALERT] Sa meilleure scène reste le moment durant lequel Tris échoue la dernière simulation. Et on découvre aussi un nouveau personnage interprété par Naomi Watts, la mère de Tobias !
Grosse production mais des effets spéciaux très moyens, nous voyons que beaucoup (trop) de scènes sont tournées sur fond vert. En gros, le film perd toute crédibilité sur les petites scènes qui nécessitent peu d'effets spéciaux mais surtout sur les plus grandes scènes…
C'est un détail qui montre les défauts du fond vert, les couleurs de fond ne sont pas toujours accordées aux couleurs que l'on voit sur le plan…
La nouvelle coupe de cheveux de Tris fait un grand changement (Shailene Woodley a dû couper ses cheveux pour d'autres projets) mais faire croire qu'elle s'est coupée les cheveux toute seule… mais bien sûr !
• début du film quand Quatre lui dit que leur couple va bien
• en plein milieu du film quand ils s'embrassent (enfin)
• la simulation des Érudits
• à la fin, quand tout le monde regarde Tris.
Dans Divergente, nous avions pu voir de belles parties dédiées aux combats bien orchestrés, là c'est un peu plus mou…
(minimum)
est prévisible à 100%Vous comprendrez en regardant le film, parfois vous pouvez sentir que telle ou telle chose va arriver en comptant jusqu'à 3 ou 5 dans votre tête et boum! Ça se réalisera !
Clairement, on sait à quoi s'attendre dans la suite mais rien ne nous est "offert". Surtout qu'en regardant le film et en comprenant ce que contient la boîte que Jeanine voulait, nous nous rendons compte que Divergente 3 ne pourra pas se faire en deux parties, puisque Divergente 2 pourrait pratiquement être une fin.
Petit clin d'oeil à nos amis de chez TVHLand !
Pas de divergence d'avis. Fabuleux spectaculaire. Meilleur que matrix! #Divergente2 @SNDfilms pic.twitter.com/1ozQUhmoD7
— TVHLAND (@TVHLAND) 16 Mars 2015
En conclusion, c'est un bon casting aussi bien aux nouveaux personnages qu'à ceux qui était déjà présents dans le premier film et une histoire avec de solides bases qui ont été exploités dans cette suite.
Les fonds verts mal travaillés sont les pires ennemis de ce film puisqu'on les remarque même sans avoir un grand œil d'obscervateur mais il se laisse (re)regarder agréablement, sans s'ennuyer.
Divergente 2 : l'insurrection est un film pleins de défauts et prévisible mais plutôt sympathique à voir.